L'éthique protestante de Max Weber appliquée aux Témoins de Jéhovah

 

Il est utile de s’interroger sur le fait que le mouvement des Témoins de Jéhovah répondrait éventuellement aux critères principaux du protestantisme et que l’on pourrait ainsi à bon droit lui appliquer les concepts wébériens sur le protestantisme et la société explicités dans L’Éthique protestante et l’esprit du capitalisme.

 

Il faut cependant préciser d’emblée que les Témoins de Jéhovah ne se disent pas protestants au sens institutionnel. Mais d’autre part, il n’existe pas une Église Protestante. Le protestantisme est avant tout un courant de contestation religieuse se réclamant des réformes du catholicisme et s’inscrivant dans l’histoire. L’Église Réformée de France –ERF explique que « au seizième siècle trois grands courants traversent et divisent la chrétienté:

 

- Les partisans de la "tradition". Tradition veut dire transmission, et dans ce courant on estime que le message et les enseignements de l'évangile ont été fidèlement transmis de génération en génération par l'institution ecclésiastique : on entend donc la conserver et la maintenir, pour l'essentiel, même si des améliorations de détail paraissent nécessaires.

 

- Les partisans de la "restitution". Restituer veut dire retrouver ce qui a été perdu. Ici, on estime qu'au fil des âges, on a oublié et travesti le message du Christ, que l'Église l'a complètement trahi. On veut donc faire table rase, tout détruire pour en revenir aux usages et croyances des apôtres et de la toute première Église.

 

- Les partisans de la "réformation". Réformer veut dire corriger, rectifier et améliorer. Depuis ses origines, l'Église a accumulé quantité d'idées et de pratiques, dont certaines contredisent l'évangile. Il faut les examiner, opérer un tri, garder ce qui est bon et rejeter le reste. Ce travail doit se refaire à chaque génération : l'Église n'est ni totalement bonne, ni complètement mauvaise, elle a toujours besoin qu'on la critique et qu'on la réforme (qu'on change sa forme) au nom de l'évangile.

 

Le premier courant privilégie la continuité, le second réclame une rupture, le troisième souligne la nécessité d'une transformation. Les Réformés s'inscrivent dans ce troisième courant. »[1]

 

On peut clairement inscrire le mouvement des Témoins de Jéhovah dans le second courant : celui des partisans de la rupture et de la restitution.[2] Alors que l’ERF reconnaît que « depuis 1945, le protestantisme français suit les mutations de la société ; conscient de sa précarité, il reste néanmoins vivace et capable de faire entendre la voix de sa différence»[3], les Témoins de Jéhovah restent résolus à faire entendre leur différence en allant clamer leur message, la Bible à la main, dans les rues du monde entier. « Cette radicalité évangélique traverse toute l’histoire du protestantisme comme toute l’histoire du christianisme et des protestants, comme d’autres chrétiens, y sont particulièrement attachés ».[4]

 

Ce désir certainement utopique des Témoins de Jéhovah de restituer le message du Christ, de revenir aux usages et aux croyances de la toute première Église, leur inscription dans la rupture avec toutes les autres Églises, leur radicalité théologique, tout cela amène les Témoins de Jéhovah à rejeter l’œcuménisme ou toute affiliation à des regroupements institués d’Églises se réclamant du christianisme et du protestantisme. En France, par exemple, les plus de mille congrégations locales des Témoins de Jéhovah représentés par leurs associations se sont regroupés au sein de leur propre fédération : La Fédération Chrétienne des Témoins de Jéhovah de France – FCTJF.   La FCTJF, en tant que telle, pourrait demander l’ouverture d’un dossier d’adhésion à la Fédération Protestante de France – FPF comme l’a fait avec succès l’Église adventiste.[5]

 

Mais si l’adhésion à la FPF donne une certaine reconnaissance, une certaine ‘respectabilité’, il existe un protestantisme non labellisé ‘FPF’. Une comparaison entre les croyances et les pratiques des protestants ‘institués’ et celles des Témoins de Jéhovah peut être révélatrice de certains points d’analogie.

 

Tout d’abord, que disent les Témoins de Jéhovah d’eux-mêmes ? Ils sont « des gens issus de toutes les couches sociales et exerçant toutes sortes de professions. Leurs enfants fréquentent l'école publique et l'université. Les Témoins de Jéhovah ne vivent pas en communauté et chaque famille a son propre foyer. Ils ne sont pas une secte, mais une religion établie dans le monde entier. »[6]

 

Au plan des croyances et des pratiques, Jean-Paul Willaime expose le protestantisme en quatre points[7] :

 

1. Les croyances,

2. Les pratiques,

3. Les pasteurs et l’organisation de l’Église,

4. Les symboles protestants.

 

  En ce qui concerne les croyances du protestantisme (1), Jean-Paul Willaime les liste ainsi :

 

- Confession de Dieu, Père, Fils et Saint-Esprit (Trinité) sur la base du Symbole de Nicée-Constantinople (325, 381),

 

A la question de savoir s’ils sont chrétiens, les Témoins de Jéhovah répondent :« Oui ! Ils croient au Christ, à sa nature divine et à sa qualité de Fils de Dieu. Ils exercent la foi en Jésus et reconnaissent en lui leur Chef unique et leur Sauveur. Ils tiennent le christianisme, non pour une simple croyance, mais pour un mode de vie. - Évangile selon Jean 1:18 ; Actes des Apôtres 3:15 ; 4:12. »[8]

 

Alors pourquoi se nomment-ils Témoins de Jéhovah ? Leur réponse est la suivante : « En français, Jéhovah est la forme usuelle du nom de Dieu. Paul Joüon, professeur à l'Institut biblique pontifical, auteur d'une monumentale Grammaire de l'hébreu biblique, l'emploie de préférence à Yahvé. Le nom Jéhovah paraît plus de 6 000 fois dans la Bible catholique de l'abbé Crampon (éd. 1905). Dans la littérature et la poésie, de Victor Hugo à Georges Brassens, nombreux sont ceux qui ont utilisé ce nom. Les Témoins de Jéhovah s'efforcent de rendre témoignage au nom du Dieu Très-Haut. - Psaume 83:19 ; Isaïe 43:10, Bible de Crampon (1905). »[9]

 

Sola Scriptura : Le protestant  affirme l’autorité souveraine de la Bible en matière de foi et de vie chrétienne (références à la Bible, prière du Notre Père contenue dans l’Évangile selon Matthieu Chapitre 6, versets 9 à 13). La tradition n’ayant qu’une valeur normative, l’Église doit constamment examiner ses pratiques et ses expressions à la lumière de la Bible. Le protestantisme ne reconnaît que deux sacrements : le baptême et la Sainte Cène et récuse la papauté, le culte marial, l’Immaculée conception, l’Assomption de Marie, le culte des saints. Il est rappelé que la Confession de La Rochelle (1559) écrit expressément que ‘ni les décrets, ni les conciles ne doivent être opposés à l’Écriture sainte, mais au contraire que toutes choses doivent être examinées, réglées et réformées selon elle. »

 

Beaucoup de Témoins de Jéhovah interrogés sur leur adhésion ou non à ce cadre doctrinal protestant affirment s’y reconnaître en très grande partie. Ils adhèrent totalement et sans réserve à la définition de la Sola Scriptura. A la question Ont-ils un livre sacré ?, les Témoins de Jéhovah répondent nettement :« Oui ! La Sainte Bible (Ancien et Nouveau Testament) est pour eux la Parole de Dieu. C'est leur seul guide ».[10] On pourra objecter ici que les Témoins de Jéhovah auraient un mode particulier d’approche de la Bible, à travers un corpus de livres d’interprétations. Mais cette remarque ne peut-elle pas s’appliquer à n’importe quel groupe chrétien protestant ? [11]

 

Sola gratia : Le salut ne peut s’obtenir que par la grâce et non par les œuvres. Les hommes ne méritent pas leur salut, c’est avant tout un don de Dieu. L’Église n’est qu’un canal menant au salut, elle est perfectible, semper reformanda. Elle est l’assemblée des croyants sans cadre hiérarchique. Tous les croyants sont des ministres de Dieu (sacerdoce universel des croyants).

 

Sur la Sola gratia, les Témoins de Jéhovah partagent le point de vue protestant mais font cependant remarquer que si le salut est effectivement une grâce (un don, charisma) provenant de Dieu, les œuvres chrétiennes ont néanmoins leur importance. Ils se basent pour affirmer ce point sur l’épître de Jacques et citent volontiers ses paroles considérées comme inspirées puisque figurant dans le canon évangélique (Sola scriptura) : « Mes frères, que sert-il à quelqu’un de dire qu’il a la foi, s’il n’a pas les œuvres ? La foi peut-elle le sauver ? (…) Il en est ainsi de la foi : si elle n’a pas les œuvres, elle est morte en elle-même. (…) Vous voyez que l’homme est justifié par les œuvres, et non par la foi seulement. (…) Comme le corps sans âme est mort, de même la foi sans les œuvres est morte. » [12]

 

Il semble bien que le point d’achoppement principal au niveau des croyances reste donc la Trinité. En effet, les Témoins de Jéhovah croient au christianisme dans sa forme originale c’est-à-dire judéo-chrétienne et rejette au nom de la Sola Scriptura le dogme de la Trinité qui ne commence à être élaboré qu’a partir du concile de Nicée (325) comme d’ailleurs le relève la Confession de la Rochelle. Une très abondante littérature expose leur point de vue. Ils récusent totalement et parfois avec un certain énervement le fait qu’on voudrait leur dénier l’épithète de chrétiens sous prétexte qu’ils ne professent pas ce dogme tardif.

 

En effet, ils confessent Dieu le Père tout-puissant qu’ils appellent Jéhovah selon la traduction classique du nom du Dieu des juifs dans la Bible, ils confessent aussi le Fils (Jésus-Christ) comme première créature engendrée de Dieu et reconnaissent sa divinité ; enfin, ils qualifient le Saint-Esprit de force toute puissante émanant de la personne de Dieu le Père.

 

Pour les Témoins de Jéhovah, Jésus-Christ ne pouvait pas être une Trinité, ce qui aurait été une abomination pour son peuple strictement monothéiste. Toujours selon le principe de la Sola Scriptura, ils font remarquer que le mot même trinité est totalement absent du Nouveau Testament et que cette absence frappante devrait clairement rendre cette idée suspecte aux yeux de tous les chrétiens. Le débat reste ouvert, et la Trinité n’a toujours pas fait ses preuves au plan du christianisme [13]. Tout un pan du protestantisme est en grande délicatesse sur la question de ce dogme. Les Témoins de Jéhovah, quant à eux, affirment un christianisme non-trinitaire.

 

Le fait qu’ils refusent la Trinité les repousse-t-il définitivement du champ protestant ? [14]

  

Leurs pratiques s’apparentent à celles du protestantisme : piété personnelle, étude individuelle de la Bible, observances de pratiques collectives, participation régulière et forte au culte hebdomadaire (sur le modèle baptiste), engagement dans les activités de l’Eglise, convictions fermes et orthodoxes en matière de croyances (selon le principe protestant de Sola Scriptura), place importante réservée à la prédication, baptême par immersion d’adultes ou d’adolescents (baptisme), profession personnelle de la foi, pratique annuelle de la Cène (selon la tradition protestante de Zwingli d’après laquelle la Cène est un mémorial de la Passion et un symbole de la présence du Christ).[15]

 


[1] Portail Internet des Jeunes Réformés -Église Réformée de France - ERF, http://www.ejrcar.fr.st/ , Équipe des Jeunes Réformés de la région Centre Alpes Rhône - EJRCAR, http://ejrcar.free.fr/ejrcar/site/theo.html#1 , Histoire et théologie, Réformer, consultation du 12/04/2006.

[2] « Leurs croyances et leurs pratiques n’ont rien de nouveau puisqu’elles rétablissent le christianisme du Ier siècle ». Comment raisonner à partir des Écritures, WTBTS, New York, 1986, p. 398.

[3] http://www.eretoile.org/elements/hist/hist.html, site  de l’Eglise Réformée, de l’Etoile à Paris, estampillée ERF-Paris, Histoire du Protestantisme, Les événements marquants de l'histoire du protestantisme en France, De 1905 à nos jours, consultation du 12/04/2006.

[4] Willaime J.P, Protestantisme, Histoire des religions, Besançon, Paris, CRDP Franche-Comté / Cerf, 1998, chapitre IV, Le débat sur « les sectes », p. 177.

[5] La Fédération protestante de France pourrait s'agrandir. PROTESTANTISME - Les adventistes du septième jour et les Assemblées de Dieu frappent à la porte de la Fédération protestante de France réunie ce week-end à Mulhouse, La Croix, 09 mars 2001. « On progresse, souligne le Pasteur Argaud. Il y a dix ans, les adventistes n'auraient jamais admis un autre protestant à la sainte cène, et les membres des ADD refusaient de s'appeler protestants. " C'est que ces Églises, nouvelles en France, ont tout intérêt à cette adhésion à la Fédération, qui vaut labélisation. Nous sommes constamment soupçonnés d'être une secte ", déplore à ce titre le Pasteur adventiste Fred Durbant. " Nous avons intérêt à nous faire connaître. " " Nous leur permettons de sortir du discrédit, reconnaît pour sa part le Pasteur J. Argaud. Et inversement, par ce dialogue, nous pouvons attirer leur attention sur telle ou telle attitude sectaire. »

[6] http://www.temoinsdejehovah.org/presentation/croyances/devezsavoir/devezsavoir.htm, Présentation/Croyances /Ce que vous devez savoir, Les Témoins de Jéhovah : Qui sont-ils ? Site officiel des Témoins de Jéhovah de France, consultation du 12/04/2006.

[7] Willaime J.P, Protestantisme, Histoire des religions, Besançon, Paris, CRDP Franche-Comté / Cerf, 1998, chapitre IV, Les croyances et les pratiques des protestants, pp. 95- 106.

[8] http://www.temoinsdejehovah.org/presentation/croyances/devezsavoir/devezsavoir.htm, Présentation/Croyances /Ce que vous devez savoir, Les Témoins de Jéhovah : Qui sont-ils ? Site officiel des Témoins de Jéhovah de France, consultation du 12/04/2006.

[9] http://www.temoinsdejehovah.org/presentation/croyances/devezsavoir/devezsavoir.htm, Présentation/Croyances /Ce que vous devez savoir, Les Témoins de Jéhovah : Qui sont-ils ? Les Témoins de Jéhovah : leur vie, leurs pratiques, Site officiel des Témoins de Jéhovah de France, consultation du 12/04/2006.

[10] http://www.temoinsdejehovah.org/presentation/croyances/devezsavoir/devezsavoir.htm 

présentation/Croyances /Ce que vous devez savoir, Les Témoins de Jéhovah : Qui sont-ils ? Les Témoins de Jéhovah : leur vie, leurs pratiques, Site officiel des Témoins de Jéhovah de France, consultation du 12/04/2006.

[11] http://www.protestants.org/fpf/general/fpfvoc.html, site de la Fédération Protestante de France, consultation du 12/04/2006 : « Malgré les liens très étroits qui les unissent, chacune des Églises et des associations membres de la FPF conserve, en toute liberté, sa spécificité et son identité, tant sur le plan théologique que pratique. Les Églises conservent leur appartenance confessionnelle propre et le fonctionnement ecclésiologique auquel elles sont attachées. C'est ainsi, par exemple, qu'elles n'ont pas toutes la même conception du baptême ni les mêmes modes d'organisation ecclésiale. Unité ne signifie pas absence de diversité, et même de différences. »

[12] SE, Épitre de Jacques, chapitre 2, versets 14, 17, 24, 26.

[13] Quel motif a amené Calvin à accepter la Trinité dans le corpus théologique protestant alors que lui-même au tout début de sa carrière de Réformateur ne soutenait pas ce dogme ? D’après Jean-Paul Willaime, « il y allait de la respectabilité du protestantisme comme christianisme trinitaire se démarquant de toutes les « hérésies » remettant en cause ce dogme fondamental du christianisme » (Protestantisme, Histoire des religions, p. 48). Jean-Paul Willaime qualifie Michel Servet, premier martyr perpétré par la Réformation genevoise de Calvin et supplicié par le feu en 1553, de « polémiste original et indépendant qui remettait en cause la trinité ». Il n’en reste pas moins qu’un courant chrétien non-trinitaire a toujours existé depuis les origines du christianisme. D’un autre coté, personne ne peut nier que les chrétiens rassemblés autour du Christ étaient tous issus de la religion juive et professaient un Dieu Un, non trin. Il semble aujourd’hui clairement établi que le concept de trinité a été emprunté au paganisme. Voir Barbey Ph.,  Les Témoins de Jéhovah – Pour un christianisme original, 2003, pp. 15-57.

[14] Il est temps de dénoncer systématiquement la grossière erreur selon laquelle les Témoins de Jéhovah ne reconnaîtraient pas le Christ comme le fils de Dieu, s’excluant ainsi d’eux mêmes de la communauté ‘chrétienne’. En effet, ils ont toujours affirmé leur christianisme sur cette base : pour eux, Christ est clairement le fils de Dieu (concept chrétien général) mais non Dieu le fils (concept trinitaire restreint). Encore récemment Henri Tincq, journaliste, directeur éditorial du Monde des religions écrit dans le Larousse des Religions (Larousse, 2005, p.193) : « Certains mouvements religieux nés dans l’univers anglo-saxon ne sont pas protestants, mais ont de lointaines racines dans le protestantisme. Pour certains, ils s ‘appuient sur la Bible, mais ne considèrent pas le Christ comme le fils de Dieu. Parmi eux (…) les témoins de Jéhovah. » Cette affirmation erronée d’un ‘spécialiste’ n’est pas unique, elle est régulièrement reprise au point que l’on peut se demander si ces assertions ne sont pas volontairement colportées afin de disqualifier comme chrétiens les Témoins de Jéhovah, partant, de leur dénier leur appartenance de facto au monde protestant (le protestantisme unitarien (non-trinitaire ou antitrinitaire) existe et il n’est pas seulement le fait des Témoins de Jéhovah) et à l’instar d’H. Tincq de les qualifier de « prétendus protestants ». Ce sous-titre est révélateur. On note en effet le mépris qu’il peut contenir. Les Témoins de Jéhovah ne se sont jamais prétendus protestants, ils constituent de facto une composante du protestantisme dont ils sont un produit relativement récent (1870) en rapport avec l’histoire pluriséculaire de la Réforme. Voir Barbey Ph., Les Témoins de Jéhovah – Pour un christianisme original, chapitre 6, Un mouvement né du bouillonnement du Réveil, pp. 57 à 81 ; chapitre 7, Une composante du protestantisme proche du pôle évangélique, pp. 81-87.

[15] Pour un approfondissement de ces différents points, voir Barbey Ph., Les Témoins de Jéhovah – Pour un christianisme original, chapitre 5, Les éléments du culte des Témoins de Jéhovah, pp. 127 à 135 ; chapitre 6, La théologie des Témoins de Jéhovah, pp. 145 ; chapitre 7, La pratique religieuse chez les Témoins de Jéhovah, 146 à 161.

 

Référence universitaire pour citer cet article :

- Barbey Ph., L'éthique protestante de Max Weber appliquée aux Témoins de Jéhovah, Focus sociologique, consulté le [date].

visites depuis le 06/04/2014

123.287 visites cumulées

au 29/07/2023 (Recherche, Articles, English site, Centre de formation)

 

CONTACT